Jalousie destructrice...qu'est-ce qui a réveillé en moi cette infâme jalousie, qu'est-ce qui a réveillé en moi ce sentiment pourri devennu indépendante je ne peut plus mévader cette méchanceté me hante et ne veut pas me laisser; du jour au lendemain j'ai été possédé dans un énorme chagrin suis-je entrain de me noyer j'en sortirais un jour avec plein de cicatrices de ce cauchemard bien lourd jalousie destructrice... |
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La mélodie du mon coeur... Apaisante notes de douceurs sortie du néant, Franchissant les barrières de mon être tour a tour, Douce mélodie a mon oreille que se son envoûtant A la fois doux et mélodieux, noble et subtile discours.
Attentif au mystérieux son, délaissant ce qui m’entoure Curieux je me mis en quête de se phénomène attirant, Envoûté par les mots chantant d’ancien troubadour Je me lança sur le chemin oublié des bardes d’antan.
A partir de cette instant mon corps reste au large C’est mon esprit qui avance d’un pas hésitant, Car périple suis bien souvent noble voyage Et que fougueux je n’en reste pas moins prudent.
Ombre et lumière se mêlent aux alentours Émerveillé par ce féerique paysage, J’avance le cœur soudain moins lourd En se monde étrange sortie d’un autre âge.
Mes pas me guidant de mystère en mystère Toujours attiré par l’étrange mélodie, Ermite vagabond je n’en reste pas moins fier La tête haute j’avance bien que d’idée alourdie.
De route pavé au sentier sinueux De plaine enneigé au désert aride, De nouveaux paysages toujours désireux Je continue ma route faisant fi de la fatigue.
Mais pourquoi suis-je ici ? Et quel est ma quête ! suis-je ici pour chercher source de vie Ou juste étreindre douce mélodie en ma tête.
Je n’ai rien d’un preux chevalier Secourant avec aisance fille de roi, Je ne suis qu’un manant égaré Cherchant reine en mon cœur si étroit.
Soudain tout me paraît clair Et cette musique qui m’envoûte, C’est le crie d’un cœur fier Qui n’a de cesse de trouver sa route...
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J'écrirais la fin... Je n'écrirais plus les mots, Je n'écrirais plus l'amour, A l'encre de ta peau, Qui se faisait velour...
Je n'écrirais plus le bleu, Je n'écrirais plus l'or, A l'encre de tes yeux, Qui se faisait trésor...
Je crierais les maux, Je crierais les pleurs, A l'antre du caveau, Qui forge le malheur...
Je crierais le noir, Je crierais les ombres, A l'antre du miroir, Qui forge la tombe...
Je partirais sans mots, J'enterrerais l'amour, Je partirais sans maux, J'enterrerais le jour...
Je partirais sans toi, J'enterrerais l'oubli, Je partirais sans moi, J'enterrerais ma vie... Ma fin |
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