Poèmes d'amour 28/09/2009 Bisous

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Fleur de ma vie... Comme une fleur cachée sur les montagnes lointaines Je t’ai trouvée toi emmitouflée sous trois feuilles noires Une a une je les ai enlevées te mettant nue avec peines Le froid a fais frissonné ta peau donnant sens a l’espoir De mes mains j’ai effleuré ton dos caressé tes bras Des lèvres j’ai découvert gout de l’ivresse des plaisirs Sans peur tu m’as laissée découvrir plus que cela J’ai jeté trouble sur tes seins pour seulement me nourrir De nos lèvres nous avons cherché passion des gouts Sur ta langue j’ai déposé juste tendresse de mon envie De la mienne je fis folie d’en prendre plus que nous A ton ventre par pluie je mis baisers, simple don ravis Alors mes doigts devinrent affamé d’autres secrets Ils cherchèrent la présence de tes envies à visiter Par eux je découvris endroit si caché de ton intimité Au creux de ce pétale se trouvais perles de rosée En cette tendre alcôve était le trésor de ta féminité Lié à ton âme par les fils de ton désir non exprimé Le besoin du désir voulut caresses seules données Par elle je fis torrent du pistil de ta fleur écartelée De ton corps tu m’offris les chants de ton plaisir Musique si douce a mes lèvres que le besoin vint En moi, comme volcan les chairs devinrent désir Celui d’être en cet instant seul brulure en ton sein Pour offrir breuvage a cette corolle ouverte de bonheur Par la danse des amants nous étions réunis par nos corps Alors vint la violence de passion déchainée en l’heure Menant mes larmes d’homme en toi brisée par l’effort... Dans l’histoire de la vie… Dans l’histoire de la vie, je mets des fleurs sur ton cœur Tu marches vers moi, je dessine mes foulées avec émois Au loin, tu me cherches, je viens vers toi toute souriante Pour moi, tu es du bonheur fou, une richesse inestimable J’aimerais te serrer dans mes bras mais tu es loin de moi… Je ne connais pas nos mémoires, notre amitié est abyssale Je n’ai plus souvenir d’un ciel de beauté ni de sa splendeur Fut-il sans histoire, l’histoire d’une Vie, j’ai tout oublié d’Elle Notre rencontre n’est pas du hasard. Avons-nous à concilier Ce que fut jadis une Histoire de vie, la Vie, une amitié perdue… Nos vibrations se croissent sans savoir décrypter la logique Tu es au milieu de nous, tu es un mystère, parfum d’amour Déjà connu sans le connaître. Tu es ravis de mes jolis écrits Et moi des tiens. Te rêver me rassure en mon cœur d’amour Que devions-nous se remémorer en cette vie-ci… notre amitié… Oublier ou ne pas oublier ce que fut jadis l’Histoire d’une vie Nos coeurs se voient, nos larmes et nos âmes se pleurent Nous avons les mêmes affinités, même regard, même vision Je te lis, tu me lis, la pluie immerge les yeux de notre coeur Nous nous connaissons depuis la nuit des temps au Présent… Nos silences, chacun sait lire les mots et les sentis de l’autre Nous nous connaissons sans s’être rencontrés, quels émois Comment comprendre cet aveu, nos âmes sont troublées Est-ce des retrouvailles à magnifier au moment présent Toi et moi partageons une amitié d’une telle profondeur… L'île des rêves... Regarde les îles des rêves La- bas les peines s'apaises Iles des illusions perdues Je t'admire toute ma vie est suspendue Oh si je pouvais y aller Est-ce un rêve qui ne fait que de passé Tandis que sous le feuillage des cocotiers Les singes s'amusent d'y grimper Le ciel et la mer se confonde Au loin les eaux y sont si profondes C'est île des poètes Ou chantent les mouettes Alors si cela n'est que dérisoire Mon âme n'a plus d'espoir Ce n'était qu'une image Comme meurt l'amour en cage Adieu île de la tentation Tu avais certainement raison Moi je retourne a ma passion Car maintenant j'ai des idées à foison...